Les faits remontent à 2022. Cette année-là, notre membre commande et paye diverses pièces pour sa motocyclette, puis se ravise auprès du professionnel, motivant sa décision par l’achat d’une nouvelle moto.
Néanmoins, plutôt que de faire comprendre au client qu’une commande passée est, en l’absence de clause contraire, parfaitement valable et ne peut par conséquent être annulée ou modifiée, le professionnel convient avec son client qu’il vendra lui-même les pièces et que le montant de cette vente lui sera ensuite restitué.
Hélas, le temps s’écoule, les pièces sont introuvables et ne font toujours pas l’objet d’un remboursement. Après un courrier infructueux, notre membre s’adresse à nos services et nous prions le garage de prendre position clairement et de procéder au remboursement en cas d’impossibilité de livraison.
Le garagiste-vendeur se confond alors en explications ubuesques pour, après de longs palabres, accepter de rétrocéder le montant des pièces, qui avaient bien évidemment été vendues !
Beaucoup de temps et d’énergie perdu donc pour une situation pourtant simple et qui aurait dû être réglée rapidement.