Notre membre (ancien locataire) croit rêver lorsqu’il reçoit de son ex-bailleur un décompte lui chargeant notamment plus de 4000 € pour la réparation du sol d’un parking souterrain qui faisait partie du contrat de bail. Il est question de petits enfoncements, certains avec présence de rouille.
Nous entamons pour lui une correspondance soutenue avec le bailleur. Nous contestons ce montant en précisant que ledit parking a toujours été utilisé « en bon père de famille ». Notre membre qui y stationnait sa moto normalement à l’aide d’un support-moto n’a jamais été informé du fait que le sol ne serait pas adapté à cet effet.
Ce faisant, nous prions le propriétaire d’accepter une participation de 500 € en signe de bonne foi de notre membre, plus de huit fois moins que les 4060 € ressortant d’un devis qu’il s’est fait établir, devis par ailleurs jugé excessif par notre inspecteur technique.
Il nous répond par la négative puis propose de diviser les frais en deux, ce que nous déclinons, réitérant notre offre sous les réserves d’usage au motif qu’un parking souterrain est davantage sujet aux salissures/dommages contrairement à un living par exemple ; les deux pièces n’ont par essence pas la même fonction. Bien que maintenant une position qui incrimine le locataire, le bailleur finira par consentir que la somme retenue soit de 500 € et non 4060 €, une différence non négligeable de 3560 €.